La Croustillante Histoire

…de nos tartelettes au feuilletage croustillant, fabriquées à Brest* et cuites sur place dans votre magasin.

*Au bout de la Bretagne

La Croustillante Histoire, c'est une histoire de famille...

Celle de Fabrice, de lointains voyages, de rencontres et surtout, c’est une histoire de gourmandise. Fabrice a grandi enveloppé des parfums de la pâtisserie familiale dans le Finistère. Il aurait pu prendre la suite de son père, mais têtu comme un Breton, il s’en est allé à l’autre bout du monde en répétant :

“ ~~Jamais je ne travaillerai dans la pâtisserie !~~ ”

Les années passent, Australie, Afrique du Sud, Argentine… de beaux pays… mais où trouver une baguette de pain bien craquante ou de bonnes pâtisseries n’est pas chose facile.

D’un manque, d’une envie naît une idée.

Il rentre en Bretagne et met la main à la pâte. C’est en s’inspirant du traditionnel kouign aman produit par son père qu’il imagine un feuilletage léger à la texture unique, croquante et caramélisée. Associé à des fruits, il en fait des tartes audacieuses, fondantes et croustillantes à la fois

De bons produits...

Afin de vous offrir des tartes savoureuses, nous n’utilisons que des produits naturels et de qualité : pas de colorant, pas de conservateur ou d’exhausteur de goût, mais du beurre extra fin issu de lait collecté en Bretagne, ainsi qu’une farine de tradition française, 100% blé français.

Vos croustillantes histoires de gourmandise...

La croustillante histoire, c’est donc celle de Fabrice, de toute l’équipe Terre d’Embruns et cette passion de la pâtisserie ! Ce sont aussi vos récits de desserts savoureux ou complètement ratés, appréciés seul ou au contraire chaleureusement partagés, mais qui laissent dans vos mémoires des souvenirs impérissables.

"Alors expatriés à Tahiti, on décide avec les copains de s’organiser un goûter galette des rois. Le moment nostalgique au bon goût de métropole, après des fêtes de fin d’année passées loin de nos familles. Pour impressionner la tablée, on décide avec mon ami de faire nous-même la pâte feuilletée. On est confiants ! On ferme toute la maison, on lance la clim au maximum, on allume tous les ventilos (paye ton bilan carbone). On est pas mal, la galette fait un peu la tête mais ce n’est pas si mal. Direction le four … Un désastre total. La pâte a pris la chaleur et l’humidité. Elle s’effondre. La frangipane dégouline de tous les côtés et la fève gît tristement au milieu de la garniture. Il a fallu manger tout ça à la cuillère, mais ça reste un moment de fou rire qui aura marqué notre expérience polynésienne."

Juliette P

Apprentie pâtissière

" Les voyages sont sources de découvertes et d’expériences inédites. Mais quand on se retrouve plongé dans une culture totalement différente de la notre, la barrière de la langue peut mener à des situations improbables ! 2016, voyage au Japon. Avec mon ami, on décide de s'installer dans un petit restaurant local pour prendre un goûter. On repère des pâtisseries au thé vert. Quoi de plus authentique ? On passe donc commande dans un japonais plus qu’approximatif et on s'installe à table. Nous patientons 5, 10, 15 minutes … Etrange pour de simples desserts déjà en vitrine. Puis soudain, la serveuse arrive et dépose devant nous … Une soupe … remplie de tentacules de poulpes qui flottent sur une couche de légumes. Vision d’horreur. En plus on déteste le poulpe ! On essaye d’expliquer tant bien que mal l’erreur. On finit par comprendre que la soupe et la pâtisserie ont un nom presque identique. Du moins venant de la bouche de touristes et de leur accent français. On a quand même pu déguster notre goûter mais non sans cette vision cauchemardesque des tentacules en tête ! "

David R

Pas fan de poulpe

Mais aussi la vôtre...

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